LYON BROCANTE CINE PHOTO essai réussi, vivement la SUITE Chaleur et Soleil étaient de la partie pour cette première de LYON BROCANTE CINE PHOTO organisée par l’espace MONTPLAISIR place Ambroise Courtois, face au Château LUMIERE. Depuis les 100 ans du Cinéma organisée avec faste par l’Institut LUMIERE et malgré les efforts du Club NIEPCE aucune rencontre PHOTO CINEMA n’avait pu trouver sa place dans la Ville des LUMIERE, alors quelle ne fut pas ma surprise de recevoir il y a peu de temps un mail d’un ami lyonnais me faisant part de cet événement qui devait se tenir la veille du lancement du Festival LUMIERE 2010.
Enfin une Bourse dans la Ville qui a tant fait pour le Cinéma. Se renseigner pour prévenir les Copains, les convaincre de participer, 15 jours c’est court, et peu ont répondu présent, dommage pour les absents cette première de LYON BROCANTE CINE PHOTO a été une réussite, conditions météo parfaites pour un début d’octobre, une dizaine d’exposants fort occupés par un nombre de visiteurs impressionnant qui ont défilés de neuf heures à 18heures sans relâche.
Non le Cinéma et la Photo Argentique ne sont pas moribonds, combien de films 8, 9,5, 16 sommeillent dans nos placards avec nos plus belles photos de famille ?
Une nouvelle génération semble timidement renaitre pour la curiosité certes , mais aussi pour le bel outil qu’était un Leica, un Rolleiflex, un Contax , une Beaulieu, un Pathe ou un Debrie, (pas ou peu d’électronique, toujours réparable), voire pour tourner un petit film en 8 ou super8.
Alors les questions fusent : trouve-t-on encore de la Pellicule ? Ou peut-on développer nos films ? , trouver des courroies ?, des lampes de rechange ? Comment remettre en route le projecteur familial et revoir tous ces souvenirs oubliés montés pour nous avec amour par nos parents amateurs ?. Un grand merci à tous les organisateurs de cette journée, pour cette initiative qui je l’espère sera la première d’une longue série ou le Cinéma sous toutes ses formes retrouvera sa place, et longue vie au Festival LUMIERE et à son « VILLAGE ». 
par Bernard VIOLET (38)
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